« En l’absence des hommes, l’hôtel, libéré de l’agacement de ces désoeuvrés, prend un air plus détendu. Fardé de soleil, il ressemble à quelqu’un qui sourit, les yeux fermés. Ernestine dort, allongée, Bouboule est tranquille, les deux chats aussi. Dans sa cage de verre, Aldo doit sommeiller ; au cas d’une arrivée, toujours possible… il n’y