Sur le blog de Jean-Michel Olivier, et dans le cadre du programme Parrains & Poulains du Salon du Livre de Genève 2013, une conversation entre l’auteur de L’Amour Nègre (Prix Interallié 2010, Editions De Fallois) et Isabelle Aeschlimann, auteur de Un Eté de trop:
Quand et pourquoi avez-vous décidé que l’écriture tiendrait une place prépondérante dans votre vie?
JMO — J’ai commencé par la musique et par la poésie. Puis, insensiblement, vers 15-16 ans, les deux se sont fondues au point de ne faire plus qu’une. Il n’y a pas de décision làdedans. L’écriture s’est imposée comme une planche de salut. Une tour de guet pour observer le monde et le comprendre.
IA — C’est venu graduellement. J’ai toujours écrit, mais je m’éparpillais dans plusieurs formes d’art. Vers 25 ans, je me suis dit que ce serait bien d’en choisir une et de l’approfondir. L’écriture était celui qui comblait le plus mon besoin de m’exprimer. Cela me procure un plaisir sans pareil. Je ne peux plus m’en passer. Si je n’écris pas, je ressens un vide en moi.
Pour lire l’entretien dans son intégralité, cliquez ici. Et n’oubliez pas de venir assister à l’entretien entre ces deux auteurs aujourd’hui même à 13 heures, sur la scène suisse du Salon du Livre de Genève !